Partir, revenir…
Aînée d’une fratrie de six frères et sœurs, Baya, 19 ans, mène une vie terne dans une ville dortoir du Nord de la France.
À la maison règne un ordre militaire avec des parents venus en France après la guerre d’Algérie. Sa mère, Ouardia, en est la reine autoritaire et suspicieuse. Le père, Daoud, harki et meurtri par le chômage, gouverne sa famille entre violence et clémence face à des enfants devenus turbulents.
Baya n’imagine qu’une seule issue de secours : les études.
Elle découvre l’amour avec Jean-Charles, un étudiant fantasque que tout lui oppose.
Un soir d’été, la vie de Baya bascule. À l’heure des choix, restera-t-elle auprès de sa famille ou s’affranchira-t-elle ?
Baya, à l’aube est un roman d’amour, de libération, de famille et d’amitié.
Format : 13 x 20 cm
200 pages
221 grammes
ISBN : 978-2-487117-11-2
Philippe –
Il y a une vérité abrupte que Malika Aït Gherbi restitue pudiquement dans son roman : cette relation mère-fille, cette tendresse fille-père privée de mots, ce départ dans la vie de la fille à partir des désastres vécus par les parents. Un premier roman attachant.
Mouret Vincent –
Une jeune femme “sauvée par le mouvement”, l’envie d’embrasser la vie envers et contre tout. Baya, à l’aube est un livre qui donne envie d’oser, de bouger, de prendre son élan, un antidote au renoncement, à l’inertie . Enthousiasmant !
Christian –
Dans la palanquée de « livres de rentrée », Baya, à l’aube a été pour moi un vrai moment de plaisir de lecture. C’est la peinture des deux parents, Daoud le crucifié et Ouardia qui, « pour garder toutes ses forces, […], considérait la haine comme son seul salut » qui me paraît d’une puissance de restitution exceptionnelle. Un premier roman prometteur.
Danièle –
Ce premier roman décrit avec justesse le poids du déracinement pour la famille. Je me suis sentie proche de la mère et admirative devant l’aisance du personnage Baya à franchir les bornes.
Danièle
Marc-Antoine (client confirmé) –
Touchée par ce parcours de jeune fille dans la France des années 90. Un livre authentique.
Louis –
A lire Baya, à l’aube, j’ai ressenti une grande sympathie pour trois raisons : 1° C’est le premier livre d’un écrivain – il le restera pour toujours 2° C’est la retranscription d’une vraie vie – il appartient à la réalité 3° A l’arrière-plan du récit, il y a la France et l’Algérie – une autre dimension du réel.
Danièle –
Ce premier roman décrit avec justesse le poids du déracinement pour la famille. Je me suis sentie proche de la mère et admirative devant l’aisance du personnage Baya à franchir les bornes.